« Le rapport de la Cour des Comptes sur la politique de développement des énergies renouvelables : Une contribution essentielle au débat sur la transition énergétique | Accueil | Comment le Japon a répondu à l'arrêt des réacteurs nucléaires suite à l'accident de Fukushima »

04 novembre 2013

Commentaires

Flux Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.

Totalement d'accord avec vos arguments qui ne datent pas d'aujourd'hui et que la réalité allemande vient justement conforter.

Alors pourquoi s'obstine-t-on dans cette voie Négawatts?

la raison de fond est l'alimentation d'une bulle financière EnR éolien et PV d'un montant exorbitant à faire supporter par les contribuables et les consommateurs.


La politique allemande a au moins un avantage, c'est d'habituer la population à une énergie chère, qui est probablement la méthode la plus efficace pour aboutir aux économies d'énergie que nous prônons tous.

Cette bataille sur l'énergie entre la France et l'Allemagne est fallacieuse car si l'on arrête ses composantes EnR et fossile et encourage la composante nucléaire pour sauver le climat, est-que l'on pourra couvrir les besoins énergétiques de la terre avec cela sachant parfaitement que l'on ne pourra pas installer ces réacteurs nucléaires partout? Par contre l'on sait que le soleil brille et le vent souffle partout dans les limites naturelles et que le coût d'installation de l'EnR par watt diminue très rapidement. Donc, pour sauver la terre et son climat, il faut agir globalement loin de cette obsession Franco-Allemande.

L'exemple allemand montre maintenant clairement que les EnR ne peuvent fonctionner qu'avec un backup fonctionnant avec une énergie fossile. Le jour où les énergie fossiles auront disparu, les humains n'auront plus qu'un seul choix : le nucléaire ou la pénurie. Le bon sens serait de s'y préparer dès aujourd'hui au lieu de manifester contre le nucléaire.

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.

Qui sommes-nous ?


  • "Sauvons Le Climat" a pour ambition d’informer, de manière indépendante de tout groupe de pression ou parti politique, sur les problèmes relatifs au réchauffement climatique et sur les solutions proposées pour le ralentir. Notre association est dotée d’un comité scientifique présidé par Michel Petit, ancien responsable du groupe français d’experts au GIEC. Sous le contrôle de ce comité, SLC publie régulièrement des études et des communiqués sur les aspects scientifiques et techniques ainsi qu'économiques et sociaux de ces problèmes. Nous diffusons également des points de vue de nos adhérents.
  • Lire notre manifeste

Avertissement

  • Les textes présentés sur ce blog n'engagent Sauvons le Climat que s'ils portent la mention "Article SLC"

Nos conférences en vidéo

Nous contacter