A l’approche de la conférence de Copenhague, les critiques à l’égard du GIEC et de ses travaux sur le réchauffement et l’évolution du climat se multiplient avec des argumentations qui ont de quoi ébranler les convictions des non-spécialistes.
C’est ainsi qu’en avril dernier était publié chez EDP Sciences un livre d'André Legendre "l'homme est-il responsable du réchauffement climatique ?". Selon la présentation qui en est faite, l’auteur, … en « honnête homme », sans a priori mais avec toute la rigueur et la curiosité scientifique qui l’anime, décortique ces questions brûlantes et tente d’expliquer, au-delà des idées toutes faites et des dogmes majeurs, ces phénomènes qui concernent le devenir de tous ses concitoyens.
Il s'agit donc d'un ouvrage à base scientifique qui passe systématiquement en revue les chapitres classiques du "Réchauffement Climatique Anthropique" : l'effet de serre et les forçages, les rétroactions, les nuages et 'albédo, les mesures de température, les glaces et les glaciers, le cycle du carbone etc Sa conclusion est sans appel : l'auteur ne redoute que la prochaine glaciation ! »
La démarche de l’auteur est convaincante : il commence par présenter l'effet de serre et le calculer, pour trouver qu'il est faible et montre avec de nombreuses références bibliographiques scientifiques, que ce n'est pas le CO2 qui réchauffe la planète.
L'ennui est que, dans son calcul de l'effet de serre, il a fait trois hypothèses erronées qui vont complètement fausser ses résultats et donner un rôle minime à l’effet de serre dû au CO2.
Il s'agit donc d'un ouvrage à base scientifique qui passe systématiquement en revue les chapitres classiques du "Réchauffement Climatique Anthropique" : l'effet de serre et les forçages, les rétroactions, les nuages et 'albédo, les mesures de température, les glaces et les glaciers, le cycle du carbone etc Sa conclusion est sans appel : l'auteur ne redoute que la prochaine glaciation ! »
La démarche de l’auteur est convaincante : il commence par présenter l'effet de serre et le calculer, pour trouver qu'il est faible et montre avec de nombreuses références bibliographiques scientifiques, que ce n'est pas le CO2 qui réchauffe la planète.
L'ennui est que, dans son calcul de l'effet de serre, il a fait trois hypothèses erronées qui vont complètement fausser ses résultats et donner un rôle minime à l’effet de serre dû au CO2.
La suite du livre s’attachera donc à démontrer que le réchauffement en cours, s’il existe vraiment, ne saurait être attribué significativement à l’action de l’homme et la « démonstration » ne tiendra que grâce à de nombreux raisonnements eux aussi erronés.
Vous trouverez une analyse de ce livre sur le site de sauvons le Climat
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