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05 mai 2013

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Il y a des chiffres qui ne correspondent pas dans les tableaux de votre étude. Par exemple, dans le tableau 6, il est indiqué que l'électricité cause l'émission de 180kg de CO2/MWh, alors même qu'on lit dans le tableau 3 45kg/MWh.

Par ailleurs, le Conseil d'État a rendu une décision motivée par des raisons de procédures: il n'est pas dit que le GIFAM obtienne ce qu'il demandait ni que ce soit une reconnaissance de son bon droit sur le fond.

J'adhère complètement à cette position de Sauvons le climat. Les énergies thermiques renouvelables doivent être beaucoup plus développées. Je pense notamment à la géothermie de surface à partir des pompes à chaleur. A Paris, la nappe phréatique se trouve à une profondeur de 20 à 30 m (source BRGM)sur une très large surface de la ville. Pourquoi ne pas multiplier les projets pour remplacer en priorité les chaufferies fioul des immeubles ? Quelle collaboration public/privé faut-il organiser pour que les forages soient faits sur la voie publique ?

Je suis d'accord avec vous M. Chaussade. La géothermie est une énergie verte, renouvelable et écologique. C'est un système très performant!

Transporter de la chaleur sur la voie publique à Paris est un monopole de la CPCU, filiale de la mairie de Paris et de GDF SUEZ. Il est donc en pratique interdit de réaliser ce genre de projet à moins de passer par leur réseau de chaleur dont les températures de fonctionnement ne permettent pas de faire transiter de la chaleur géothermique : les réseaux de géothermie sont des réseaux eau chaude et la CPCU distribue de la vapeur. C'est le même problème qui interdit d'utiliser la chaleur de la RATP pour chauffer des immeubles.

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