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10 novembre 2010

Commentaires

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Deux remarques de détail:
- La quantité d’énergie primaire utilisée pour produire de l’électricité est égale à 2,58 fois la quantité d’énergie finale, c'est-à-dire égale à la quantité de chaleur qui a servi à produire l’électricité, quelle que soit l’origine de cette chaleur, charbon, gaz ou réaction nucléaire.
Ce n'est pas tout à fait vrai en vertu du principe de Carnot qui fait que le rendement des ensembles chaudière -turboalternateurs dépend de la température de la vapeur , laquelle est plus faible dans le nucléaire que dans les centrales à flamme.
- les compteurs électriques communiquants pourront en effet répondre à ce que vous dites dans la mesure où ils permettrons de repérer les consommations dans les différentes heures de la journée ,donc de distinguer périodes de pointe ,de semie base et de base lesquelles font appel à différents moyens de production.

Je pense aussi qu'en effet la RT2012 a pour but de diminuer les consommations d'électricité, mais j'avoue avoir un peu de mal à voir un rapport avec un lobby anti nucléaire. Pourquoi ne pas apprécier le fait que l'on va améliorer l'efficacité énergétique des batiments via cette réglementation ?

Il est clair que le but poursuivi dans le choix des critères de la RT2012 est bien de réduire la part de l'électricité. Qui pousse à réduire la part de l'électricité, très majoritairement décarbonée en France, pour la remplacer par du gaz émetteur de CO2 et que de surcroit nous devons importer ?

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