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06 janvier 2012

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Ce ne sont pas les experts, mais des experts. Au niveau mondial, on peut dire n'importe quoi, alors qu'on nous indique donc dans quelle partie du monde la production peut seulement se maintenir, car elle est en déclin presque partout.

Un conditionnel à la première ligne aurait été indispensable.

Il est clair que ces soi-disant experts veulent interdire la transition vers l'électricité produite parles filières nucléaires et le renouvelable, car une transition retardée et subie est l'assurance d'un prix du pétrole élevé.

La pénurie de pétrole sera l'âge d'or de l'industrie pétrolière, car le prix sera fixé par celui des substituant c'est à dire 200 $/baril.

Effectivement ce sont des experts et à DOHA .
Et pourquoi, avant de lancer ce fil de discussion, ne s'être pas rebouclé avec JM JANCOVICI de votre comité technique qui sait ce qu'il en est des prévisions "optimistes"

Nous aurions ...1383 milliards de barils ...de réserves pétrolières. Soit de 50 à 100 ans de consommation selon les projections.

1) Si la crise devait se prolonger indéfiniment la question des réserves ne se pose plus ; prenons donc l'autre cas de figure :
2) On sort de la crise et donc la croissance de la consommation repart de plus belle bien au dessus des 1,5%/an. Par conservatisme retenons 1,5% . Soit un facteur multiplicatif de 2,1 en 50 ans.

En 2010 on a tourné à 0,087 milliards de barils/jour ,soit 0,182 en 2060 et sur la période la consommation aura été de 1,5 * 50 * 0,087 * 365 = 2 380 milliards de barils

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